Lire la rue comme le lieu d’un théâtre impromptu et quotidien est l’une des volontés d’André Carpentier, qui clôt, avec ces chroniques de l’asphalte, le cycle Quatuor du flâneur montréalais.
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Lire la rue comme le lieu d’un théâtre impromptu et quotidien est l’une des volontés d’André Carpentier, qui clôt, avec ces chroniques de l’asphalte, le cycle Quatuor du flâneur montréalais.
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